Extraits de messages de 1998 et 1999LE CHĂTIMENT- Ăpouse bien-aimĂ©e, le monde est dĂ©sormais arrivĂ© au moment de la grande Ă©preuve mĂȘme la grande douleur qui se prĂ©pare au monde est destinĂ©e au salut du monde, que chaque homme se prĂ©pare Ă se laisser purifier Ă fond; seulement celui qui docile accepte Ma volontĂ© peut accĂ©der au salut⊠26-08-1998.Lâhomme ose ce que jamais il ne devrait oser il appelle sur soi le grand chĂątiment. Ăpouse bien-aimĂ©e, si le chĂątiment devait ĂȘtre en proportion au pĂ©chĂ©, il est certain quâil serait pire que le dĂ©luge;Le chĂątiment dĂ©sormais viendra tout doit changer, tout doit changer dans peu de temps!... 04-02-1999.Vous entendrez parler de guerres et de destructions, de tremblements de terre et de bouleversements qui adviennent dans le monde entier ce qui advient doit advenir, tout a Ă©tĂ© annoncĂ©. JĂ©sus 23-12-1998.Ne soyez pas troublĂ©s, enfants tant aimĂ©s, si vous entendez parler de guerres, de destructions, de secousses telluriques ceci doit arriver; celui qui vit en Dieu nâa rien Ă craindre⊠19-08-1998.Les hommes prĂ©parent des armes de grande puissance en cachette, des armes de grande destruction; mon ennemi a enflammĂ© les cĆurs dâune haine terrible; dâĂ©normes arsenaux belliqueux sont prĂȘts pour dĂ©chaĂźner la plus fĂ©roce guerre quâil nây a jamais euâŠLes grands de la terre sont armĂ©s jusquâaux dents le ventre de la terre cache des armes puissantes et mortelles⊠12-1998.Il souffle sur la terre de terribles vents de guerre, en beaucoup dâendroits se trouvent des feux que le vent peut amplifier jusquâĂ tout emporter⊠La Maman 10-04-1998.Moi, Moi JĂ©sus, Je suis le Juge devant lequel chacun doit comparaĂźtre; bientĂŽt, Ă©pouse bien-aimĂ©e, des millions et des millions dâĂąmes auront simultanĂ©ment le Jugement⊠03-01-1999.Les expĂ©rimentations gĂ©nĂ©tiques qui se rĂ©alisent sont une grande offense Ă Mon encontre; voilĂ , pour cela, lâhomme connaĂźtra Ma grande ire... 14-01-1999.Chers enfants tant aimĂ©s, nâayez pas peur, le troisiĂšme conflit mondial nâaura pas lieu, mais les nuages noirs noirs que les pĂ©chĂ©s ont fait devenir Ă©pais, les nuages noirs doivent, avant de sâen aller, dĂ©charger leur contenu; seulement aprĂšs, enfants bien-aimĂ©s, seulement aprĂšs ils deviendront des cirrus rosĂ©s et donc ils disparaĂźtront complĂštement⊠La Madone 29-03-1999.Bien-aimĂ©e, la terre ne sera pas dĂ©truite, la terre ne sera pas anĂ©antie comme il en est dans le projet de Mon ennemi il nâadvient pas ce que Je ne veux pas, il ne se produit pas ce que Je ne permets pas; la terre continuera de vivre mais de maniĂšre diffĂ©rente de maintenant, trĂšs diffĂ©rente! Les puissances humaines seront Ă©liminĂ©es, les pouvoirs des hommes ne seront plus. Je rĂšgnerai, Moi JĂ©sus, avec Ma Puissance et Ma Gloire;Je rĂ©duirai Ă rien tout pouvoir humain; que tremblent les grands de la terre, que tremblent ceux qui aujourdâhui dĂ©tiennent le pouvoir parce quâils seront rĂ©duits Ă rien et ceci dans un bref espace de temps⊠20-08-0998.VoilĂ la ruine que le monde a appelĂ©e sur soi, la ruine que le monde a cherchĂ©e, voilĂ , elle arrive de lâorient, elle arrive comme le feu qui en un instant investit toutes les broussailles sĂšches, elle avance, elle avance et personne ne rĂ©ussit Ă lâarrĂȘter!... 26-08-1998.Petite, Je vois la grande tristesse de ton visage, Je lis ta pensĂ©e naissante, câest celle-ci JĂ©sus adorĂ©, alors dĂ©sormais le chĂątiment, le grand chĂątiment est inĂ©vitable, les priĂšres et les suppliques de Tes amis, lâintercession de Ta TrĂšs Sainte MĂšre ne peuvent plus lâĂ©viter dâaucune façon? »Avec douleur, Je dois te rĂ©pondre quâil est dĂ©sormais inĂ©vitable, il est proche, il est sĂ©vĂšre! Le monde lâa voulu avec sa dĂ©sobĂ©issance, le monde nâa pas Ă©coutĂ© Ma Parole, il nâa pas accueilli Mes avertissements, le monde a contractĂ© avec Moi une trĂšs forte dette, elle doit ĂȘtre soldĂ©e, chaque dette doit ĂȘtre soldĂ©e jusquâau dernier centime⊠03-03-1999.Mon peuple saint ne pĂ©rira pas entiĂšrement, il y aura un petit reste si robuste et fort Ă se multiplier en peu de temps jusquâĂ devenir nombreux comme les Ă©toiles du Ciel⊠09-08-1998.Dans la douleur et la pĂ©nitence forcĂ©e, les hommes admettront leurs propres erreurs, ils plieront la tĂȘte et ils pleureront pour leurs propres pĂ©chĂ©s⊠03-10-1998.
MonTwitter: de mieux pour profiter de la chanson culte de Krilin !Comme expliqué en début de vidéo, j'ai gardé au maximum
JâAI DESCENDU DANS MON JARDIN GENTIL COQUELICOT Jâai descendu dans mon jardin bis Pour y cueillir du romarin. Gentil coqâlicot, Mesdames. Gentil coqâlicot nouveau. Pour y cueillir du romarin bis Jânâen avais pas cueilli trois brins Gentil coqâlicot, etc. Jânâen avais pas cueilli trois brins, bis Quâun rossignol vint sur ma main Gentil coqâlicot, etc. Quâun rossignol vint sur ma main, bis Il me dit trois mots en latin Gentil coqâlicot, etc. Il me dit trois mots en latin, bis Que les hommes ne valent rien Gentil coqâlicot, etc. Que les hommes ne valent rien, bis Et les garçons encor bien moins Gentil coqâlicot, etc. Et les garçons encor bien moins, bis Des dames il ne me dit rien Gentil coqâlicot, etc. Des dames il ne me dit rien, bis Mais des dâmoiselles beaucoup de bien Gentil coqâlicot, etc. Voir aussi Gentil_Coquelicot/Partition
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Pour y cueillir du romarin, Gentil coquelicot, mesdames... Je suis revenue une fois encore dans le jardin de la Grande Vigne, en cet aprĂšs-midi de novembre oĂč les premiĂšres gelĂ©es ont bruni fleurs et feuilles. Je reste fidĂšle Ă ce lieu oĂč tout a commencĂ© et tout s'est terminĂ© il a abritĂ© la fleur de notre amour, Ă la fois si flamboyante et si fragile, fleur dont, je le sais dĂ©sormais, la racine est dĂ©finitivement morte. Je ne peux oublier le contenu d'une lettre envoyĂ©e par un ami bien intentionnĂ© Ă qui je ne demandais rien il m'a appris que tu t'Ă©tais mariĂ©. MalgrĂ© le long cortĂšge des annĂ©es, j'avais espĂ©rĂ© que renaĂźtrait le sentiment que tu avais Ă©prouvĂ© pour moi, comme on attend l'Ă©ternel retour du printemps. Mais ce n'Ă©tait qu'une cruelle illusion, de mĂȘme que la lumiĂšre douce et dorĂ©e des aprĂšs-midis me faisait croire que c'Ă©tait encore l'Ă©tĂ©. Semblables Ă un bouquet de roses aux multiples couleurs, les souvenirs ont reparu, transperçant mon cĆur de leurs Ă©pines. Tout a commencĂ© un matin gris de janvier, il y a presque vingt ans de cela. Je m'apprĂȘtais Ă quitter le lycĂ©e entre deux cours ; en franchissant le portail, j'ai entendu des pas derriĂšre moi. Je me suis retournĂ©e et je t'ai vu, toi le beau tĂ©nĂ©breux, solitaire et taciturne, dont le charme en avait sĂ©duit plus d'une. Tu m'as souri et tu m'as demandĂ© si tu pouvais m'accompagner. J'ai Ă©tĂ© surprise que tu m'adresses la parole, car jusque-lĂ tu m'avais superbement ignorĂ©e, mĂȘme si nous Ă©tions dans la mĂȘme classe depuis plusieurs mois. Mue par la curiositĂ©, j'ai acceptĂ© et nous avons descendu en silence l'allĂ©e qui conduit Ă l'entrĂ©e de la propriĂ©tĂ©. La porte s'est ouverte sur le jardin engourdi par le froid ; j'ai eu l'impression de pĂ©nĂ©trer dans un labyrinthe, comme si le paysage pourtant familier recĂ©lait des mystĂšres insoupçonnĂ©s. Quand nous sommes arrivĂ©s en bas de la charmille, avant qu'on se dirige vers le potager, tu m'as tendu en silence un papier oĂč tu avais recopiĂ© une poĂ©sie, transformant le vouvoiement en tutoiement Ma bien- aimĂ©e Tu as cessĂ© de m'aimer, moi qui jusqu'Ă la mort compte sur ton cĆur. Laisse-moi mon erreur pour me laisser la vie. Tu m'as oubliĂ© comme on oublie un rĂȘve, Comme efface le jour ce qu'enfante la nuit. Pour moi, ton Ćil est froid et ton cĆur est fermĂ©. Mais je t'aime. Au moment oĂč j'ai relevĂ© les yeux, j'ai aperçu les perce-neige et j'ai su qu'un sentiment ne demandait qu'Ă Ă©clore. Trop Ă©mue pour te rĂ©pondre, j'ai plongĂ© dans le bleu de tes yeux, Ă la fois portĂ©e et ballottĂ©e par les vagues de ton dĂ©sir. M'arrachant Ă ce tourbillon, j'ai fait quelques pas et je me suis tournĂ©e vers la statue de Saint Yves, pour qu'il m'aide Ă retrouver mon chemin, mais il est restĂ© sourd Ă mes priĂšres. J'ai pris conscience qu'il Ă©tait grand temps de retourner au lycĂ©e et nous avons fermĂ© la porte du jardin, tĂ©moin de notre secret. Puis les jours ont succĂ©dĂ© aux jours, le rythme des saisons a suivi celui de notre amour, ponctuĂ© par de tendres promenades un premier baiser saluĂ© par les jonquilles et des brassĂ©es d'autres dans la ronde du muguet, du myosotis, des ancolies, des pavots, des dahlias... jusqu'Ă ne plus former qu'un seul ĂȘtre. Je nous revois parcourant, main dans la main ou enlacĂ©s, les allĂ©es, moments privilĂ©giĂ©s oĂč tu n'Ă©tais qu'Ă moi, bien loin de ce que j'appelais, sous la morsure de la jalousie, la foule de tes admirateurs et surtout de tes admiratrices. Quand nous traversions le verger ou que nous dĂ©ambulions dans le potager, ton esprit pratique te faisait envisager l'avenir trĂšs concrĂštement avec maison et enfants ; pour ma part, l'instant prĂ©sent me suffisait je ne me sentais pas prĂȘte Ă entrer dans l'Ăąge adulte ni Ă assumer toutes ces responsabilitĂ©s. Et puis le destin s'est rappelĂ© Ă moi je venais d'obtenir mon bac ; nos routes allaient se sĂ©parer puisque tu restais au lycĂ©e. Je ne savais comment aborder le problĂšme, sans te froisser, comme on craint d'abĂźmer les pĂ©tales d'une fleur. Nous nous sommes retrouvĂ©s une derniĂšre fois, au port, la veille du 14 juillet. Main dans la main, nous avons parcouru le quai, en direction de la Maison de la Grande Vigne. Miraculeusement le portail Ă©tait restĂ© ouvert et nous sommes remontĂ©s vers la maison, pour admirer le feu d'artifice, depuis le verger, loin de la foule. Ensuite nous sommes restĂ©s dans les bras l'un de l'autre, Ă©coutant la vie nocturne de la nature qui nous entourait une fois encore de sa bulle protectrice. Il a fallu se sĂ©parer ce soir-lĂ aprĂšs un dernier baiser. Et puis tu as disparu de ma vie comme tu y Ă©tais entrĂ©, brutalement et sans explication, dĂ©vastant sans remords le jardin de mon cĆur. Maintenant que j'ai compris que cet amour ne refleurirait plus, peut-ĂȘtre ce jardin qu'on a surnommĂ© le Paradou redeviendra-t-il, pour moi, l'Eden d'avant le serpent. De mĂȘme que la Rance coule paisiblement en ses mĂ©andres, les intermittences du cĆur feront place Ă un battement rĂ©gulier. Comme un petit coquelicot, mon Ăąme Comme un petit coquelicot.
Dansla poĂ©sie populaire, le rossignol tient souvent le rĂŽle du messager de lâamour. Gentil coquelicot Jâai descendu dans mon jardin Jâai descendu dans mon jardin Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot mesdames Gentil coquelicot nouveau Gentil coquelicot mesdames Gentil coquelicot J'n'en avais pas cueilli trois brins J'n'en avais pas cueilli trois brins Qu'un
Paroles de la chanson BergĂšre allons doux par Tri Yann J'ai descendu dans ma cave, par un escalier d'argent bis Et j'ai cueilli trois marguerites, toutes trois fleuries de rang BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Et j'ai cueilli trois marguerites, toutes trois fleuries de rang bis J'ai pris mes petits ciseaux et les ai coupĂ©s en rĂȘvant BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis J'ai pris mes petits ciseaux et les ai coupĂ©s en rĂȘvant bis Et j'en ai fait un bouquet pour ma mie que j'aime tant BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Et j'en ai fait un bouquet pour ma mie que j'aime tant bis Et les lui ai fait porter par le rossignol chantant BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Et les lui ai fait porter par le rossignol chantant bis Elle me les a renvoyĂ© par l'alouette en pleurant BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Elle me les a renvoyĂ© par l'alouette en pleurant bis Et alouette, belle alouette, quelle nouvelle y a chez nos gens BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Et alouette, belle alouette, quelle nouvelle y a chez nos gens bis Des nouvelles y a plein pour toi qui te feront pleurer longtemps BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Des nouvelles y a plein pour toi qui te feront pleurer longtemps bis Et de ton pĂšre et de ta mĂšre qui sont morts y a bien longtemps BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Et de ton pĂšre et de ta mĂšre qui sont morts y a bien longtemps bis De mon pĂšre et de ma mĂšre, je ne m'en soucie point tant BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis De mon pĂšre et de ma mĂšre, je ne m'en soucie point tant bis Sans mon pĂšre et sans ma mĂšre, je serais partie y a bien longtemps BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Car sans mon pĂšre et sans ma mĂšre, je serais mariĂ©e y a bien longtemps bis Et je serais dĂ©jĂ Ă mon mĂ©nage de cinq Ă six douzaines d'enfants BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis Et je serais dĂ©jĂ Ă mon mĂ©nage de cinq Ă six douzaines d'enfants bis Et les grands demanderaient de l'argent, et les petits du pain de maman BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis J'ai descendu dans ma cave par un escalier d'argent bis Et j'ai cueilli trois marguerites, toutes trois fleuries de rang BergĂšre allons doux et doux, ma mie allons doucement bis
244ea.